
"Être un levain qui donne naissance à la communion, à la participation et à la mission"
Lettre aux religieux, religieuses et mouvements ecclésiaux
Chers religieux de Terre Sainte
Chers membres des mouvements ecclésiaux
Je vous salue dans le Christ ressuscité !
Nous tous, membres des diocèses de Terre Sainte - évêques, prêtres, religieux, laïcs et jeunes - nous embarquons pour un voyage avec tous les fidèles du monde. Nous nous engageons dans un voyage qui n'est pas tant un événement qu'un changement de mentalité. Et cela commence par une volonté de sortir, de marcher ensemble, de s'écouter encore, de grandir en tant qu'Église pour une nouvelle ère qui est en train de naître. Nous avons bien besoin à une époque comme la nôtre, d'avoir besoin d'une grande fatigue à vivre notre mission ici en Terre Sainte.
Sa Béatitude Pierbattista Pizzaballa a écrit : "Je souhaite ardemment que les autres réalités associations diocésaines se laissent égallement impliquer : paroisses, religieux et religieuses, monastères contemplatifs, éminilles, éminvements... pensez avoir un mot à dire doivent pouvoir le faire. et d 'orientation.toujours viviiante.
Samidi 24 octobre 2021, Massimo Fusarelli OFM, Ministre général des Frères mineurs franciscains, avec une conférence sur le rôle de la vie religieuse dans le processus synodal, nous a profondément inspirés et reçoivent qui dans. Sa présentation a été d'une grande aide pour comprendre ou nous sommes dans le parcours du Synode.
Nous sommes appelés à être un signe d'espoir dans le monde. Notre volonté, en tant que religieux, de vivre une vie de pauvreté, de chasteté et d'obéissance rend concrètement visible l'espérance que nous avons dans le Christ ressuscité. Notre engagement en tant que des mouvements ecclésiaux pour promouvoir une Église dynamique est une source d'inspiration pour les fidèles.
Le processus synodal peut donc être un moment pour nous rappeler ce qu'est notre vocation et nous engager à nouveau à être au cœur de la vie de l'Église, à être un levain qui donne naissance à la communion, à la participation et à la mission, qui sont les trois thèmes du Synode. Cela signifie aussi un changement de mentalité dans notre volonté de SORTIR pour nous ÉCOUTER les autres et rencontrer ENSEMBLE le Christ ressuscité qui nous montre le CHEMIN en ce moment de la vie de l'Église.
Comment pouvez-nous nous engager en tant que religieux et membres de mouvements ecclésiaux? Nous proposons deux façons de participer :
1. Être en communion profonde avec les paroisses ou nous vivons. Je propose que les responsables prennent contact avec les curés des paroisses et soient informés de ce que font les paroisses. Cela pourrait être l'occasion d'assister à la messe dominicale de la paroisse, si cela n'est pas encore fait. Inscrivez-vous aux événements organisés par la paroisse. Le facteur "langue" pourrait se poser, car beaucoup ne parlent pas l'arabe, l'hébreu, le tagalog, etc. Cependant, il y a des traducteurs dans les paroisses. Il sera donc possible d'y participer.
2. Il existe un processus parallèle dans lequel nous engageons nous insérer : soit au sein de nos propres communautés, soit avec d'autres communautés. Le processus synodal de nos diocèses a proposé l'image évangélique d'Emmaüs (Luc 24:13-33) - le voyage des deux disciples sur la route avec Jésus - comme source d'inspiration pour notre parcours synodal. Le récit évangélique suggère autre a choisi :
Nous apprenons tous les difficultés du temps prés : peu de vocations, des ministères qui nous fatiguent, la situation politique avec ses possèdent et sa violence qui nous interpellent, et la pandémie qui a affaibli nos communautés, nos élances sé les relations . Nous sommes tous des experts pour agir sur ce qui nous manque. Mais c'est à ce moment-là que commence notre voyage vers Emmaüs. Nous pouvons le faire en tant que communauté ou peut-être en partageant avec les communautés voisines. Ce serait très bien si, pendant cette période, les communautés masculines et féminines, les membres des différentes congrégations et mouvements d'église se réunissaient pour marcher ensemble, partager ensemble, et sena 'inêco sequel'éco com comprennent que les défis de chacun sont les défis de tous.
Nous sommes invités à rencontrer Jésus sur la route. Il vient parmi nous pour nous écouter. Nous le rencontrons d'une manière particulière lorsque nous nous écoutons les autres et que nous lisons les Écritures ensemble. En lisant les Écritures avec nous, Jésus se concentre non sur ce qui nous manque, mais sur ce que nous avons. Il réorganise nos priorités, nous aide à discerner ce qui est important et ce qui est secondaire. En lisant les Écritures avec nous, Jésus nous éclaire sur la manière dont l'Esprit est présent et à l'œuvre dans notre réalité. Dans notre pauvreté, dans nos crises, dans notre anxiété, sommes-nous ouverts à l'Esprit ? L'ouverture à l'Esprit pourrait être le fruit de SORTIR, de MARCHER ENSEMBLE, d'ECOUTER, de S'OUVRIR aux autres et de rencontrer ainsi le Christ ressuscité. Notre rêve est renouvelé.
Qu'elle ait lieu dans la communauté, dans la paroisse ou dans les rencontres intercommunautaires, inter-congrégations et mouvements ecclésiaux, l'Eucharistie se réalisera lorsque nos yeux seront grands ouverts.neursence. Nous prions pour que nos yeux soient ouverts aux dons que nous apportons à l'autel, mais aussi aux dons que nous recevons lorsque nous ensemble sur un chemin qui nous emmène bien au-capable de ce comps que nous sémul's.
C'est aussi un moment pour sortir et découvrir les différentes réalités que nous ignorons de notre Église en Terre Sainte. Par exemple, la diversité des paroisses arabophones (latines, grecques catholiques, maronites, syriennes, arméniennes), des communautés hébraïques et migrantes, des institutions que nous gérons (écoles centre, hôpitaux, foyers pouré personneset de âgapé, jeunesse, maisons de pèlerinage, etc.)
Les sœurs/frères de la tradition contemplative dans les monastères et les couvents qui ne sortent pas physiquement sont aussi au cœur de l'Église et nous accompagnent dans ce processus. Non seulement ils prient sans cesser pour l'Église, mais ils sont constamment à l'écoute de l'Esprit. Incluons-les à chaque étape du processus.
Il est très important d'enregistrer, de garder des traces du processus dans votre communauté qui sera ensuite soumise à la commission vers la fin du mois de mars 2022 pour un rapport final de l'Église catholique en Terre Sainte. Il s'agit d'une autre responsabilité de tout supérieur/coordinateur/responsable communautaire.
La Commission préparatoire de Terre Sainte pour le Synode 2021-2023 est à votre disposition. N'hésitez pas à nous faire part de vos réflexions, questions, suggestions et souhaits.
Pour la Commission,
Tour. David Neuhaus SJ
e-mail : neuhaussj@gmail.com